[Takin] 5 - Alors maintenant, tu fermes ta gueule...

Dernière lettre, datée du 30-10-2021. Plus de nouvelles...  
Cela ne sert à rien de parler aux cons.
Maintenant, tu te tais - sinon poursuites.
2ème lettre recommandée, pour acter en cas d'harcèlement ultérieur.

Madame Dukon,

Dans un courrier du mois d’août 2021, je vous avais clairement demandé de ne pas harceler ma fille avec vos salades (en référence à vos « vérités arrangées » sur votre passé).

Vous n’en avez pas tenu compte (votre carte du 11-10-2021) et ma fille vous a envoyé un SMS
(le 25-10-2021 à 11:43) où elle déclare ne plus vouloir « quelconque contact avec toi ».

Cette demande est très claire. J’espère que vous ne passerez pas outre et que vous vous abstiendrez d’écrire, de téléphoner ou d’envoyer de nouveaux messages à ma fille – puisque c’est sa demande et qu’elle vous en a fait part.

Vous lui avez fait trop de peine avec votre attitude constamment déplacée.
Ma fille a parfaitement le droit d’exiger qu’on la laisse tranquille.

Pour votre information, les peines encourues pour harcèlement sont un an d’emprisonnement et 15 000 € d’amende.
Les peines sont doublées (2 ans de prison, 30 000 € d’amende) si vous utilisez un moyen numérique ou électronique (autrement dit : votre téléphone portable).

Dans vos courriers, on retrouve plusieurs allégations volontairement mensongères dans l’objectif de me nuire.
Compte-tenu de votre comportement particulièrement incorrect depuis le mois de mai 2021, je n’ai plus envie d’être complaisant avec vous.

Par la présente, je vous prie instamment d’arrêter toutes diffamations et calomnies à mon sujet.
Pour ces faits, je suis en droit d’engager des poursuites à votre encontre.


Tout en me dénigrant, vous cherchez aussi à réhabiliter la mémoire de votre défunt mari.
Pour ma part, je n’ai jamais fait l’apologie des hommes violents: parce que je n’ai ni la bassesse ni la malhonnêteté pour ça.

Vous prétendez que vous n’avez pas eu « le droit d’être une grand-mère ». Pour ma fille ?
Trop souvent, vous vous êtes accordé le « droit » d’oublier ses anniversaires (ou les fêtes de Noël).
D’ailleurs, je vous avais reproché votre manque d’intérêt pour mes enfants (2 courriers dont celui du 06-10-2001).
Malgré ça, 6 jours plus tard, ma fille n’a même pas eu le « droit » de recevoir une simple carte d’anniversaire.
Attitude courante, mainte fois répétée.
20 ans après, vous vous plaignez auprès de la personne que vous avez-vous-même ignorée !

Vous pouvez toujours jouer votre comédie de l’éternelle victime.
Au sujet de mes enfants, votre comportement ne mérite pas beaucoup d’éloges.
- En 1994, pour des raisons que je conteste, vous m’avez ordonné de ne plus venir chez vous.
A l’époque, je vous avais écrit pour essayer de vous faire revenir sur cette décision. En vain.
Depuis lors, vous avez régulièrement oublié les anniversaires de nos enfants - ou même de leur témoigner un minimum de sympathie.

- Soudainement, à l’été 2001 (7 ans plus tard), alors que votre couple est en pleine crise, vous avez l’aplomb de m’embrouiller avec votre indifférence pour mes enfants.
Par écrit, je vous ai rappelé que nous n’étions toujours pas les bienvenus chez vous. Peine perdue.
En retour: juste une lettre de votre mari qui réaffirmait son souhait de « ne pas avoir de relations » avec moi !
Vous étiez au courant, je vous l’ai écrit.
Dans un autre courrier de novembre 2001, j’avais également attiré votre attention sur vos « oublis » trop fréquents au sujet des anniversaires des enfants (entre autres).
En vain, car rien n’a changé.

Jamais invités à venir chez vous (jusqu’en 2011!), aucune demande de visite, fréquents « oublis » des anniversaires, pas d’appels téléphoniques, indifférence quasi-systématique pour les fêtes de Noël, peu de réponses à mes lettres (même aux cartes de vœux), rares réponses à mes envois de dessins des enfants, pas de lettres pour prendre spontanément des nouvelles, etc…
A ma connaissance, personne ne vous a interdit d’envoyer ces petits signes de gentillesse !
Pour résumer, vous n’avez pas démontré un réel intérêt pour mes enfants.
Et j’ai gardé suffisamment d’éléments matériels pour contredire vos allégations non-fondées lorsque vous prétendez que vous n’avez pas eu le « droit d’être une grand-mère ».

Encore une fois, vous revendiquez des droits alors que vous n’avez pas accompli le minimum de vos devoirs.
Même si cela vous a échappé, les enfants et petits-enfants ont des droits – eux aussi.
Si vous aviez sollicité la justice, l’exposition des faits vous aurait sérieusement accablée.
Et pour finir de convaincre le tribunal, j’aurais certainement dénoncé vos continuels manquements coupables dans la protection de l’enfance.


Vous ne vous êtes pas vraiment comportée comme une grand-mère pour mes enfants, tout comme vous avez été incapable de prendre la place d’une maman dans mon cœur.
Vous ne savez faire que ça : vous apitoyer sur les conséquences de vos bassesses – tout en blâmant les autres.

Vous ne changerez pas l’histoire, même si votre passé infamant vous déplait.
Quelles que soient vos arguments, les faits sont établis :
- Vous êtes restée 40 ans avec un homme qui vous a battue, insultée, humiliée.
- Vous ne m’avez pas protégé de cet homme qui m’a battu, insulté, humilié.
- Vous avez refusé de vous excuser pour vos graves manquements en tant que parent.
- Vous avez négligé mes enfants lorsqu’ils étaient jeunes.
Ce sont les conséquences directes de vos choix irréfléchis et inconséquents.
Vos propres choix, que vous refusez de remettre en cause – quitte à me diffamer ou me calomnier.

Encore une fois, j’attire votre attention sur la possibilité d’engager des poursuites à votre encontre, et je vous somme d’arrêter tout agissements (ou propos mensongers) destinés à me nuire.