[Takin] 4 - Laisses ma fille en dehors de tes embrouilles ! Salope !
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[Takin] 4 - Laisses ma fille en dehors de tes embrouilles ! Salope !
15 août 2021.
Encore plus de provocations : elle emmerde ma fille avec des embrouilles à la con.
Il est où, le respect ?
1ère lettre en recommandé.
Madame Dukon,
Votre dernière lettre à ma fille reflète bien votre comportement coutumier.
L’affection des enfants (et des petits-enfants) ne se décrète pas avec des lettres d’invectives (comme j’en ai reçu), ni avec des pleurnicheries de circonstance.
De façon particulièrement odieuse, vous faites du chantage affectif tout en jouant sur les bons sentiments.
Vous utilisez vos subterfuges habituels, plutôt que de vous comporter (enfin) comme une grand-mère digne et affectueuse.
Comme toujours, vous ne démontrez qu’un égoïsme démesuré et sans affection particulière pour mes enfants et moi-même.
Vous n’avez pas pu vous empêcher : désormais, vous vous en prenez à ma fille - après m’avoir pourri l’existence pendant toutes ces années !
- Dans ma lettre du 16-07-2021, je vous invitais pourtant à faire preuve d’honnêteté en reconnaissant que monsieur Dukon s’était rendu coupable de violences intrafamiliales. A ce jour, vous ne l’avez pas fait.
- Je vous ai également reproché vos manquements dans votre obligation de protection (enfants mineurs).
En refusant de vous excuser, vous persistez sciemment dans la désinvolture et le rejet.
Vous négligez le fait que mes enfants ont souffert de votre attitude passée, eux-aussi.
De plus, votre avez gardé votre goût immodéré pour l’embrouille indélicate.
Vous essayez de faire accourir ma fille à votre chevet alors que vous refusez de vous excuser pour vos nombreux manquements.
Au final, votre démarche est particulièrement insultante et méprisante pour ma fille - comme pour moi.
Ma fille ne vous a rien fait, et elle mérite beaucoup plus de considération que vos extravagances frénétiques.
Plutôt que d’aller importuner ou harceler ma fille avec vos salades, commencez donc par reconnaître vos propres fautes et erreurs.
Cordialement,
P/S : loin de « m’écouter pousser les cheveux », je suis indigné par votre comportement irrespectueux.
Encore plus de provocations : elle emmerde ma fille avec des embrouilles à la con.
Il est où, le respect ?
1ère lettre en recommandé.
Madame Dukon,
Votre dernière lettre à ma fille reflète bien votre comportement coutumier.
L’affection des enfants (et des petits-enfants) ne se décrète pas avec des lettres d’invectives (comme j’en ai reçu), ni avec des pleurnicheries de circonstance.
De façon particulièrement odieuse, vous faites du chantage affectif tout en jouant sur les bons sentiments.
Vous utilisez vos subterfuges habituels, plutôt que de vous comporter (enfin) comme une grand-mère digne et affectueuse.
Comme toujours, vous ne démontrez qu’un égoïsme démesuré et sans affection particulière pour mes enfants et moi-même.
Vous n’avez pas pu vous empêcher : désormais, vous vous en prenez à ma fille - après m’avoir pourri l’existence pendant toutes ces années !
- Dans ma lettre du 16-07-2021, je vous invitais pourtant à faire preuve d’honnêteté en reconnaissant que monsieur Dukon s’était rendu coupable de violences intrafamiliales. A ce jour, vous ne l’avez pas fait.
- Je vous ai également reproché vos manquements dans votre obligation de protection (enfants mineurs).
En refusant de vous excuser, vous persistez sciemment dans la désinvolture et le rejet.
Vous négligez le fait que mes enfants ont souffert de votre attitude passée, eux-aussi.
De plus, votre avez gardé votre goût immodéré pour l’embrouille indélicate.
Vous essayez de faire accourir ma fille à votre chevet alors que vous refusez de vous excuser pour vos nombreux manquements.
Au final, votre démarche est particulièrement insultante et méprisante pour ma fille - comme pour moi.
Ma fille ne vous a rien fait, et elle mérite beaucoup plus de considération que vos extravagances frénétiques.
Plutôt que d’aller importuner ou harceler ma fille avec vos salades, commencez donc par reconnaître vos propres fautes et erreurs.
Cordialement,
P/S : loin de « m’écouter pousser les cheveux », je suis indigné par votre comportement irrespectueux.
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