Ce que tu es...
Les carnets de Takin :: Pas de complaisance pour les auteurs de violences intrafamiliales :: Le défouloir
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Ce que tu es...
Ici, c'est le défouloir, donc on dit tout ce que l'on a sur le cœur !
Sans filtre !
Avertissement: âmes sensibles, passez votre chemin.
Le vocabulaire employé n'est qu'un échantillon de ce que ton connard de mari a pu proférer pendant des années.
Sans protester, tu as accepté les injures pour tes enfants, ta mère, ta soeur, tous tes proches, etc... et toi-même.
Tu n'as jamais protégé tes enfants.
Pendant des années, tu as accepté qu'ils soient battus, insultés, humiliés, harcelés.
Pour toutes ces années, tu n'as jamais exprimé de regrets ou la moindre excuse.
Au regard de ce que tu as fait, tu ne mérites aucune forme de considération.
Après-tout, tu ne dois t'en prendre qu'à toi-même. Espèce de sale merde !
Dans un courrier de 2007, tu es méprisable quand tu m’écris au sujet de ton mari violent et alcoolique :
« Il t’aimait… ».
En parlant de mon agresseur !
Tu es une sacrée tordue pour te permettre une telle révision de l’histoire.
« Il t’aimait… ».
Tu parles d’un salopard qui agressait femme(s) et enfants.
Plusieurs décennies d’arrogances, de mépris, d’insultes, de coups, de mauvaises excuses, de faux-semblants, de malhonnêtetés, de jalousie mal placée, de préjugés à la con.
Qu’est-ce que cela aurait été s’il ne m’avait pas « aimé » ?
« Il t’aimait… ».
Avec ce mensonge assumé, tu démontres ta malveillance sans bornes.
Mauvaise femme, tu n’es qu’une incapable cherchant à justifier tes choix de merde.
Tu as un comportement malhonnête au possible.
« Il t’aimait… ».
Tu affirmes cette sottise en dépit des évidences.
Et je suis capable d’en juger par moi-même.
Pas la peine de me suggérer quoi en penser.
Tu maquilles la vérité, avec tes diversions malhonnêtes.
« Il t’aimait. ».
Ce connard regrettait de ne pas m’avoir torturé avec un fer à repasser… Quelle tendresse !
Et il n’est pas question non-plus, de passer sous silence d’autres propos inadmissibles.
Me dire, à 12 ans, qu’il n’hésitera pas à me tirer dessus si je ne « filais pas droit » ?
Espèce de conne, ce sont des menaces de mort - de la part d’un gros crétin instable qui détenait (illégalement) une arme à feu.
Prétendre y voir des sentiments bienveillants, c’est malsain au possible.
« Il t’aimait… »
Au point de m’écrire qu’il ne m’appréciait pas, tout en estimant qu’il n’avait pas à s’en justifier.
Ce mépris dégueulasse n’est pas de l’amour.
Tu es incapable de faire la différence, vieille tordue pleine de vices.
« Il t’aimait… »
C’était ce même connard qui me forçait la tête sous l’eau dans l’évier de la cuisine.
Sous quel prétexte ? Pour me "mettre en confiance", en guise de premiers cours de natation… dans la bassine qui servait à laver la vaisselle.
Et toi, espèce d’imbécile ? Tu regardais bêtement- même pas perturbée par mes cris.
Tu aurais bouffé du foin, s’il te l’avait ordonné !
Espèce de grosse merde incapable de prendre tes responsabilités !
Tu es la lâcheté personnalisée.
En réalité, vous formiez un couple de tarés profonds.
Le gros connard alcoolique et son abrutie d’épouse complice malveillante.
« Il t’aimait… »
Vos 2 enfants biologiques n’ont pas bénéficié des cours d’apnée dans l’évier - eux.
Comme ils n’ont pas subi non-plus, les simulacres d’abandon sur le bord de la route. Et pourquoi ?
Parce que l’autre salopard avait ses préférences. D’ailleurs, il répétait exactement le contraire à tout propos.
Avec ton connard de mari, vous étiez bien égaux dans la malhonnêteté.
« Il t’aimait… »
Et de quel droit tu t’exprimes en son nom ?
Tu t'es toujours acharnée à faire parler les morts et les absents.
Tu te permets n'importe quoi, sale conne malveillante.
Pour mieux dissimuler tes propres manquements coupables !
Et pour cela, tous les coups sont bons - mêmes les plus tordus.
« Il t’aimait… »
Ces mots n’engagent que toi, petite pétasse !
Quel crédit t’accorder quand on sait que tu es capable de manipuler un enfant de 5 ans ?
Voilà tes "conseils" à la con : « S’il te demande où nous étions, tu dois répondre : je ne sais pas ».
Et après ? Tu vas te cacher en me laissant seul face au psychopathe.
Tu n’es même pas capable de t’assumer.
Alors, tu envoies un enfant à ta place.
Avec pour mission, de soutenir mordicus ton mensonge grotesque.
C’est tout le courage que tu auras démontré, sale pourriture !
A 5 ans, je me retrouve tout seul face à un adulte autoritaire, violent et obstiné - jusqu’à ce que je déballe la vérité.
Merci à tous les 2 pour ces grands moments « de bonheur ».
Et quand ton gros connard de mari sort de l’appartement, tu retrouves assez de courage pour me reprocher d’avoir finalement dit la vérité - au lieu de TON mensonge. Connasse malhonnête, toi non-plus tu ne m’aimais pas. Sale petite ordure !
« La salope… »
Voilà l’exclamation indignée de ma fille.
Elle venait de recevoir une lettre dégoulinante de tes pourritures.
C'était le cri du cœur, mais aussi un bon résumé de ce que tu as démontré.
Tu envoies des lettres bourrées de propos malveillants et tu t'étonnes que l'on refuse d'avoir des relations avec toi.
C'est tout ce que tu as obtenu avec ton comportement infect. Connasse !
Espèce de salope !
Tu exigeais qu’on te considère comme une grand-mère - et tu ne démontrais que ta haine aveugle en retour.
Juste par malfaisance, tu cherchais à impliquer ma fille dans tes délires.
Ma fille a eu une réaction indignée et légitime face à ce mélange de désinvolture, d’arrogance, de malveillance, de manipulation malsaine.
C’est toi, la salope qui m’a écrit « Il t’aimait… ».
En fait, tu as tout vu, tout entendu… mais tu n’as jamais rien fait pour protéger tes enfants.
Et quelles bassesses pour essayer de te justifier sur le tard !
Au lieu d’exprimer des regrets - à défaut d’excuses.
Espèce de salope !
Telle une bourrique bornée, tu t’es employée à envenimer les conflits avec mes grands-parents – sans jamais te demander comment tu pourrais améliorer tes relations avec autrui.
Espèce de salope !
Malhonnête, tu te lamentes sur les conséquences de ton comportement - tout en blâmant les autres.
Connasse, tu n’as jamais compris qu’être maman ou grand-mère consistait d’abord à se comporter comme telle.
L’affection n’est pas un droit exigible, espèce d’andouille !
Espèce de salope !
Tordue, tu préférais montrer ostensiblement tes bleus plutôt que d’arrêter ta relation avec l’autre pourri.
Espèce de salope !
Loin de t’occuper des enfants, tu as toujours été une grosse feignasse.
En revanche, tu as toujours impliqué les autres dans chacune de tes turpitudes.
Espèce de salope !
Tu n’as aucun savoir-vivre, aucune dignité.
Même des années après le décès de l’autre gros con, tu te révèles incapable d’entretenir des relations saines avec les petits-enfants de ton premier mari.
Imbécile, tu ne m’as jamais souri.
Toutefois, tu te croyais légitime à exiger que je sois souriant sur tes photos.
Tout dans le paraître.
Imbécile, tu me reproches de ne pas être venu aux obsèques de l’autre con.
C'est surtout parce que je n'étais pas au casting de ta pièce de théâtre indigne.
Tu es obscène et égoïste.
Espèce de salope !
Je revois ta tête de connasse renfrognée quand tu devais s’occuper des enfants.
Je garde le souvenir de tes gestes secs, sans délicatesse ni affection.
Pas fichue de faire la différence entre maltraitance et bons soins.
Pas fichue d’introduire un thermomètre sans infliger des douleurs anales.
Espèce de pute !
Aussitôt mon père enterré, tu as enchaîné méticuleusement les relations d’un soir.
Appliquée à consigner les détails dans un petit carnet : niveau de performance, odeur, texture de la peau, etc…
Tes « clients » étaient évalués et fichés. Quel comportement abject !
La pute qui utilise des méthodes de basse police !
Espèce de salope ! Tu me considérais comme un « prince en exil » - selon tes propres mots. Grosse conne.
Espèce de salope ! Tu abusais de ta situation de tutrice légale pour empêcher mes grands-parents de voir leur petit-fils unique.
Espèce de salope ! Tu t’es enfuie à l’étranger pour te soustraire à une décision de justice.
Espèce de salope ! Tu m’imposais d’avoir le crâne rasé parce que cela faisait de la peine à ma grand-mère.
Espèce de salope ! Tu ne vaux pas mieux que la Folcoche de « Vipère au poing ».
Espèce de salope ! Tu t'es acharnée à m'emmerder comme ce n'est pas permis.
Espèce de salope ! Tu ne t'es interessée à mes enfants que pour les emmerder eux-aussi. Tu es une vraie ordure !
Espèce de salope !
Je venais de traiter ton mari de con parce qu'il avait encore cogné son fils pour une raison débile.
Au regard de la situation, mes propos étaient totalement justifiés.
Au lieu de réaliser ce qui se passait chez toi, tu m'as fait subir une interminable séance d'auto-critique dans le noir au coin du feu.
Tu manipules en permanence, car la vérité t'indispose.
C'est ton putain de problème avec la vérité ! (Et "vice" versa).
Espèce de salope !
Tu as réclamé à mes grands-parents le remboursement d’une somme que mon père leur avait prêtée.
Sans pudeur, sans considération, tu réclames indûment de l’argent à des parents effondrés par le décès de leur fils.
Aucune décence, aucun respect – même pour la loi.
Espèce de salope !
Tu as essayé de voler l’héritage d’un orphelin de 18 mois.
Tu n’es qu’une mange-merde qui s’est déshonorée pour une somme dérisoire.
Espèce de salope !
Tu as trop insisté pour lire la dernière lettre de mon père adressée à mes grands-parents.
Et tu as promptement empoché cette lettre.
Courrier confisqué - et probablement détruit car trop embarrassant sur les vraies raisons de son "accident" de voiture.
Espèce de salope !
Tu t'es toujours empressée de m'expliquer que mon père ne s'était pas suicidé.
Et pourtant, je ne t'ai jamais rien demandé à ce sujet.
Tu imagines que je vais te croire ? Toi qui ment si souvent - malgré les preuves matérielles !
Tu imagines que je vais te croire ? Toi qui récrit systématiquement l'histoire comme ça t'arrange !
Tu imagines que je vais te croire ? Toi qui n'es même pas fichue de dire la vérité pour des scènes auxquelles j'ai moi-même assisté !
Au final, c'est ton comportement malhonnête qui explique ce qui s'est passé.
Tu es vraiment une sale petite ordure.
Tu as pourri la vie de celui qui t'a sortie du caniveau - espèce de morue sans scrupules !
Et en guise de remerciements, tu t'acharnes sur ses petits-enfants - avec tes embrouilles de merde.
Tu as le vice chevillé au corps, vieille connasse.
« Il t’a nourri et soigné… »
C’est peut-être un exploit pour toi, connasse.
En fait, c’est juste le minimum légal.
Et encore, il aurait voulu que j’arrête mes études parce que ses propres enfants n’étaient pas capables d’arriver à mon niveau.
Vous n'étiez que des sales rapiats, jaloux et mal intentionnés.
« Il t’a nourri et soigné… »
On aurait dû vous mettre dans un cirque, avec les clowns.
« Il t’a nourri et soigné… »
Dis-donc, espèce de pétasse.
C'est quand-même à toi - tutrice légale - que revenait l'obligation de m'élever et de me protéger.
Tu as complétement négligé tes responsabilités, bougre de conne.
Tu t'es totalement défaussée sur l'autre abruti.
« Il t’a nourri et soigné… » et « Il t’aimait… »
Ce serait oublier tous les manques de tendresse ou d'attention comme (par exemple) : « tes chiards n’ont pas besoin de jouets à Noël… ».
Il est où le respect la-dedans ?
Ce serait oublier que ce connard faisait exprès de partir le matin sans m’emmener à l’école - espèce de débiles mentaux !
« Il t’a nourri et soigné… »
Insultes, coups, humiliations : vous avez manqué à toutes vos obligations.
Vous n’étiez qu’une paire d’imposteurs, dans la vie privée - et aussi dans l’éducation nationale.
« Coucou dans le nid… »
Tu as écrit que j’étais un « coucou dans le nid … ».
Tu n’es qu’une malhonnête particulièrement lâche.
Il faut être sacrément tordue pour affirmer une pareille ineptie !
A 3 ans je n’ai pas pris l’initiative de m’installer chez l’autre gros con.
Je n’étais même pas présent quand tu es partie le rejoindre dans sa ville d'origine - à 670 km de chez toi.
Tu m’avais préalablement laissé chez tes cousins.
« Confié pour une durée indéterminée », cela s’appelle un abandon.
Une fois débarrassée de ma présence encombrante, tu t’es précipitée chez TON connard.
Plus précisément : il était chez ses parents, et il ne t’avait pas spécialement invitée à le rejoindre.
C’est toi qui as couché avec lui - avec un empressement dont il a toujours abondamment témoigné.
C’est toi qui as eu ce comportement de pétasse lubrique.
Tu t’es mise toute seule dans ces situations à la con.
Espèce de lâche !
Tu n’as même pas le courage d’assumer TES choix de merde.
Espèce de cloche, c’est bien toi qui as épousé ce gros abruti.
Bougre d’andouille, tu n’as pas la dignité suffisante pour assumer les conséquences des TES calculs malsains.
Tu fais des conneries et tu te dérobes devant leurs répercussions.
Tu préfères accuser un gosse de 3 ans plutôt que de reconnaître ta désinvolture coupable !
Comme si j’avais la responsabilité de tes turpitudes obscènes, espèce de morue sans scrupules.
« Coucou dans le nid… »
C'est bien toi, la truie lubrique qui s'est vautrée dans son lit.
Personne ne t'avais rien demandé.
Tu n'étais même pas invitée, espèce de conne.
Bougre d'ahurie !
C’est bien toi qui as décidé d’avoir 2 enfants avec ce connard.
Je n’ai rien à voir avec tes coucheries malsaines.
Ni d’aucune façon avec ta conduite perpétuellement scandaleuse.
Minable manipulatrice qui a déployé tous les stratagèmes possibles : à lui, tu gémissais « fais-moi un enfant… »
Et à moi, tu me répétais : « tu dois l’appeler papa… ».
Une bonne leçon interminable qui a produit ses effets.
Il se plaisait à dire que j’étais le premier à l’avoir appelé « papa… ».
Il était un vantard imbu de lui-même. Et parfois un gros benêt.
S’il l’avait su, tu n’aurais pas survécu à sa colère.
Espèce de tordue qui essaye toujours de m’associer à TON comportement lubrique, obscène, indécent, débile, irrespectueux, irresponsable, inconséquent, irréfléchi.
Espèce de conne, tu as voulu obtenir de la respectabilité en te servant de ton cul plutôt que de ta tête.
Le pire, c’est que tu donnerais volontiers des leçons de morale aux femmes mariées qui ne travaillent pas.
Selon tes préjugés à la con, elle seraient des prostituées - alors que toi tu es une oie blanche !!!
Tu oublies vite ce que tu as été - et comment tu as vécu, espèce de morue !
Toi qui as tout accepté de la part de ton gros connard de mari !
Toi! Tu es particulièrement mal placée pour faire des grandes déclarations péremptoires sur l’émancipation des femmes.
Pauvre abrutie.
« Coucou dans le nid… »
Dis donc espèce de malpropre, tu as oublié que ton connard de mari t’avait soutiré de l’argent en douce ?
Encore l’excuse facile d’une amnésie de circonstance.
« Coucou dans le nid… »
Le salopard traitait ta mère de putain, de maquerelle… mais il a bien profité de son argent.
Que ce soit pour l’achat de la maison familiale – ou pour financer mes études.
Aucun amour propre, aucune décence, aucuns regrets, ni excuses.
Que de la grossièreté et un manque total de savoir-vivre.
Et il se réfugiait dans le confort de l’amnésie sélective – comme toi, sa petite salope complice.
Je regrette de m’être laissé manipuler au point que le prénom du connard figure dans l’état-civil de mon fils.
Je regrette toutes ces lettres en vain, pour essayer de renouer. Vous n’en aviez rien à faire.
Juste bons à vous plaindre que je ne venais plus vous voir – comme si je devais oublier l’interdiction écrite de venir chez vous.
Je regrette d’avoir laissé passer le délai de prescription et de vous avoir épargné l’infamie d’un procès en correctionnelle.
Je regrette de ne pas être parti à 18 ans pour chercher refuge chez mes grands-parents.
Je regrette de ne pas avoir invité mes grands-parents à mon mariage.
Cela leur aurait tant fait plaisir, alors que vous faisiez la gueule rien qu’à l’idée de venir.
Et mes grands-parents n’auraient jamais inventé une mauvaise excuse de dernière minute pour ne pas venir.
J’ai de la peine pour mes grands-parents qui avaient rapidement compris que tu ne n'apporterais rien de bon à leur fils.
Mon père a tout quitté pour t’offrir protection, dignité et surtout un nouveau départ dans la vie.
J’ai de la peine pour lui qui avait finalement compris qui tu es - au point de s’en désespérer.
1968, j’avais 5 ans.
Tu disais avec la bouche tordue de mépris : « Ce gosse, je le déteste. »
Même ton gros con alcoolique était choqué.
2023 : rassures-toi, connasse.
J’éprouve la même chose à ton égard.
Mais moi, mes motifs sont sérieusement plus légitimes.
J’ai eu beaucoup de témoignages – même écrits – qui évoquaient une personne folle, désaxée, débile, cinglée, très conne.
On m’a dit aussi : « Elle n’est pas conne, ce serait lui trouver des excuses ».
Effectivement, ton comportement de tordue démontre quelques facultés intellectuelles – au service d’une méchanceté chronique.
Tu as accumulé les conneries, sans être particulièrement bête.
Juste motivée par ta malveillance sans limites.
Tu es une ordure, une pourriture, une bourrique aigrie, buttée, bornée, avide, jalouse, irritable, foncièrement méchante, malhonnête, toxique, dégueulasse, infecte, menteuse, impostrice, voleuse, mange-merde, pourrie, malsaine, vicieuse, rageuse, fouteuse de merde, manipulatrice, comédienne, obscène, dépravée, vaniteuse, indécente, désinvolte, lâche, indigne, égoïste, irresponsable, arrogante, rancunière, prompte à stigmatiser, bourrée de préjugés à la con, irrespectueuse, sans affection, méprisante, prétentieuse, incapable, paresseuse, négligente, feignasse, frustrée frénétique, agressive, renfrognée, glaciale, loin d’être une idiote et surtout malfaisante par nature.
En bref, tu es une grosse merde qui a appris à parler et à écrire.
Dans ta vie, tu n'as fait que des saloperies.
Toi-même, tu es une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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Avertissement: âmes sensibles, passez votre chemin.
Le vocabulaire employé n'est qu'un échantillon de ce que ton connard de mari a pu proférer pendant des années.
Sans protester, tu as accepté les injures pour tes enfants, ta mère, ta soeur, tous tes proches, etc... et toi-même.
Tu n'as jamais protégé tes enfants.
Pendant des années, tu as accepté qu'ils soient battus, insultés, humiliés, harcelés.
Pour toutes ces années, tu n'as jamais exprimé de regrets ou la moindre excuse.
Au regard de ce que tu as fait, tu ne mérites aucune forme de considération.
Après-tout, tu ne dois t'en prendre qu'à toi-même. Espèce de sale merde !
Dans un courrier de 2007, tu es méprisable quand tu m’écris au sujet de ton mari violent et alcoolique :
« Il t’aimait… ».
En parlant de mon agresseur !
Tu es une sacrée tordue pour te permettre une telle révision de l’histoire.
« Il t’aimait… ».
Tu parles d’un salopard qui agressait femme(s) et enfants.
Plusieurs décennies d’arrogances, de mépris, d’insultes, de coups, de mauvaises excuses, de faux-semblants, de malhonnêtetés, de jalousie mal placée, de préjugés à la con.
Qu’est-ce que cela aurait été s’il ne m’avait pas « aimé » ?
« Il t’aimait… ».
Avec ce mensonge assumé, tu démontres ta malveillance sans bornes.
Mauvaise femme, tu n’es qu’une incapable cherchant à justifier tes choix de merde.
Tu as un comportement malhonnête au possible.
« Il t’aimait… ».
Tu affirmes cette sottise en dépit des évidences.
Et je suis capable d’en juger par moi-même.
Pas la peine de me suggérer quoi en penser.
Tu maquilles la vérité, avec tes diversions malhonnêtes.
« Il t’aimait. ».
Ce connard regrettait de ne pas m’avoir torturé avec un fer à repasser… Quelle tendresse !
Et il n’est pas question non-plus, de passer sous silence d’autres propos inadmissibles.
Me dire, à 12 ans, qu’il n’hésitera pas à me tirer dessus si je ne « filais pas droit » ?
Espèce de conne, ce sont des menaces de mort - de la part d’un gros crétin instable qui détenait (illégalement) une arme à feu.
Prétendre y voir des sentiments bienveillants, c’est malsain au possible.
« Il t’aimait… »
Au point de m’écrire qu’il ne m’appréciait pas, tout en estimant qu’il n’avait pas à s’en justifier.
Ce mépris dégueulasse n’est pas de l’amour.
Tu es incapable de faire la différence, vieille tordue pleine de vices.
« Il t’aimait… »
C’était ce même connard qui me forçait la tête sous l’eau dans l’évier de la cuisine.
Sous quel prétexte ? Pour me "mettre en confiance", en guise de premiers cours de natation… dans la bassine qui servait à laver la vaisselle.
Et toi, espèce d’imbécile ? Tu regardais bêtement- même pas perturbée par mes cris.
Tu aurais bouffé du foin, s’il te l’avait ordonné !
Espèce de grosse merde incapable de prendre tes responsabilités !
Tu es la lâcheté personnalisée.
En réalité, vous formiez un couple de tarés profonds.
Le gros connard alcoolique et son abrutie d’épouse complice malveillante.
« Il t’aimait… »
Vos 2 enfants biologiques n’ont pas bénéficié des cours d’apnée dans l’évier - eux.
Comme ils n’ont pas subi non-plus, les simulacres d’abandon sur le bord de la route. Et pourquoi ?
Parce que l’autre salopard avait ses préférences. D’ailleurs, il répétait exactement le contraire à tout propos.
Avec ton connard de mari, vous étiez bien égaux dans la malhonnêteté.
« Il t’aimait… »
Et de quel droit tu t’exprimes en son nom ?
Tu t'es toujours acharnée à faire parler les morts et les absents.
Tu te permets n'importe quoi, sale conne malveillante.
Pour mieux dissimuler tes propres manquements coupables !
Et pour cela, tous les coups sont bons - mêmes les plus tordus.
« Il t’aimait… »
Ces mots n’engagent que toi, petite pétasse !
Quel crédit t’accorder quand on sait que tu es capable de manipuler un enfant de 5 ans ?
Voilà tes "conseils" à la con : « S’il te demande où nous étions, tu dois répondre : je ne sais pas ».
Et après ? Tu vas te cacher en me laissant seul face au psychopathe.
Tu n’es même pas capable de t’assumer.
Alors, tu envoies un enfant à ta place.
Avec pour mission, de soutenir mordicus ton mensonge grotesque.
C’est tout le courage que tu auras démontré, sale pourriture !
A 5 ans, je me retrouve tout seul face à un adulte autoritaire, violent et obstiné - jusqu’à ce que je déballe la vérité.
Merci à tous les 2 pour ces grands moments « de bonheur ».
Et quand ton gros connard de mari sort de l’appartement, tu retrouves assez de courage pour me reprocher d’avoir finalement dit la vérité - au lieu de TON mensonge. Connasse malhonnête, toi non-plus tu ne m’aimais pas. Sale petite ordure !
« La salope… »
Voilà l’exclamation indignée de ma fille.
Elle venait de recevoir une lettre dégoulinante de tes pourritures.
C'était le cri du cœur, mais aussi un bon résumé de ce que tu as démontré.
Tu envoies des lettres bourrées de propos malveillants et tu t'étonnes que l'on refuse d'avoir des relations avec toi.
C'est tout ce que tu as obtenu avec ton comportement infect. Connasse !
Espèce de salope !
Tu exigeais qu’on te considère comme une grand-mère - et tu ne démontrais que ta haine aveugle en retour.
Juste par malfaisance, tu cherchais à impliquer ma fille dans tes délires.
Ma fille a eu une réaction indignée et légitime face à ce mélange de désinvolture, d’arrogance, de malveillance, de manipulation malsaine.
C’est toi, la salope qui m’a écrit « Il t’aimait… ».
En fait, tu as tout vu, tout entendu… mais tu n’as jamais rien fait pour protéger tes enfants.
Et quelles bassesses pour essayer de te justifier sur le tard !
Au lieu d’exprimer des regrets - à défaut d’excuses.
Espèce de salope !
Telle une bourrique bornée, tu t’es employée à envenimer les conflits avec mes grands-parents – sans jamais te demander comment tu pourrais améliorer tes relations avec autrui.
Espèce de salope !
Malhonnête, tu te lamentes sur les conséquences de ton comportement - tout en blâmant les autres.
Connasse, tu n’as jamais compris qu’être maman ou grand-mère consistait d’abord à se comporter comme telle.
L’affection n’est pas un droit exigible, espèce d’andouille !
Espèce de salope !
Tordue, tu préférais montrer ostensiblement tes bleus plutôt que d’arrêter ta relation avec l’autre pourri.
Espèce de salope !
Loin de t’occuper des enfants, tu as toujours été une grosse feignasse.
En revanche, tu as toujours impliqué les autres dans chacune de tes turpitudes.
Espèce de salope !
Tu n’as aucun savoir-vivre, aucune dignité.
Même des années après le décès de l’autre gros con, tu te révèles incapable d’entretenir des relations saines avec les petits-enfants de ton premier mari.
Imbécile, tu ne m’as jamais souri.
Toutefois, tu te croyais légitime à exiger que je sois souriant sur tes photos.
Tout dans le paraître.
Imbécile, tu me reproches de ne pas être venu aux obsèques de l’autre con.
C'est surtout parce que je n'étais pas au casting de ta pièce de théâtre indigne.
Tu es obscène et égoïste.
Espèce de salope !
Je revois ta tête de connasse renfrognée quand tu devais s’occuper des enfants.
Je garde le souvenir de tes gestes secs, sans délicatesse ni affection.
Pas fichue de faire la différence entre maltraitance et bons soins.
Pas fichue d’introduire un thermomètre sans infliger des douleurs anales.
Espèce de pute !
Aussitôt mon père enterré, tu as enchaîné méticuleusement les relations d’un soir.
Appliquée à consigner les détails dans un petit carnet : niveau de performance, odeur, texture de la peau, etc…
Tes « clients » étaient évalués et fichés. Quel comportement abject !
La pute qui utilise des méthodes de basse police !
Espèce de salope ! Tu me considérais comme un « prince en exil » - selon tes propres mots. Grosse conne.
Espèce de salope ! Tu abusais de ta situation de tutrice légale pour empêcher mes grands-parents de voir leur petit-fils unique.
Espèce de salope ! Tu t’es enfuie à l’étranger pour te soustraire à une décision de justice.
Espèce de salope ! Tu m’imposais d’avoir le crâne rasé parce que cela faisait de la peine à ma grand-mère.
Espèce de salope ! Tu ne vaux pas mieux que la Folcoche de « Vipère au poing ».
Espèce de salope ! Tu t'es acharnée à m'emmerder comme ce n'est pas permis.
Espèce de salope ! Tu ne t'es interessée à mes enfants que pour les emmerder eux-aussi. Tu es une vraie ordure !
Espèce de salope !
Je venais de traiter ton mari de con parce qu'il avait encore cogné son fils pour une raison débile.
Au regard de la situation, mes propos étaient totalement justifiés.
Au lieu de réaliser ce qui se passait chez toi, tu m'as fait subir une interminable séance d'auto-critique dans le noir au coin du feu.
Tu manipules en permanence, car la vérité t'indispose.
C'est ton putain de problème avec la vérité ! (Et "vice" versa).
Espèce de salope !
Tu as réclamé à mes grands-parents le remboursement d’une somme que mon père leur avait prêtée.
Sans pudeur, sans considération, tu réclames indûment de l’argent à des parents effondrés par le décès de leur fils.
Aucune décence, aucun respect – même pour la loi.
Espèce de salope !
Tu as essayé de voler l’héritage d’un orphelin de 18 mois.
Tu n’es qu’une mange-merde qui s’est déshonorée pour une somme dérisoire.
Espèce de salope !
Tu as trop insisté pour lire la dernière lettre de mon père adressée à mes grands-parents.
Et tu as promptement empoché cette lettre.
Courrier confisqué - et probablement détruit car trop embarrassant sur les vraies raisons de son "accident" de voiture.
Espèce de salope !
Tu t'es toujours empressée de m'expliquer que mon père ne s'était pas suicidé.
Et pourtant, je ne t'ai jamais rien demandé à ce sujet.
Tu imagines que je vais te croire ? Toi qui ment si souvent - malgré les preuves matérielles !
Tu imagines que je vais te croire ? Toi qui récrit systématiquement l'histoire comme ça t'arrange !
Tu imagines que je vais te croire ? Toi qui n'es même pas fichue de dire la vérité pour des scènes auxquelles j'ai moi-même assisté !
Au final, c'est ton comportement malhonnête qui explique ce qui s'est passé.
Tu es vraiment une sale petite ordure.
Tu as pourri la vie de celui qui t'a sortie du caniveau - espèce de morue sans scrupules !
Et en guise de remerciements, tu t'acharnes sur ses petits-enfants - avec tes embrouilles de merde.
Tu as le vice chevillé au corps, vieille connasse.
« Il t’a nourri et soigné… »
C’est peut-être un exploit pour toi, connasse.
En fait, c’est juste le minimum légal.
Et encore, il aurait voulu que j’arrête mes études parce que ses propres enfants n’étaient pas capables d’arriver à mon niveau.
Vous n'étiez que des sales rapiats, jaloux et mal intentionnés.
« Il t’a nourri et soigné… »
On aurait dû vous mettre dans un cirque, avec les clowns.
« Il t’a nourri et soigné… »
Dis-donc, espèce de pétasse.
C'est quand-même à toi - tutrice légale - que revenait l'obligation de m'élever et de me protéger.
Tu as complétement négligé tes responsabilités, bougre de conne.
Tu t'es totalement défaussée sur l'autre abruti.
« Il t’a nourri et soigné… » et « Il t’aimait… »
Ce serait oublier tous les manques de tendresse ou d'attention comme (par exemple) : « tes chiards n’ont pas besoin de jouets à Noël… ».
Il est où le respect la-dedans ?
Ce serait oublier que ce connard faisait exprès de partir le matin sans m’emmener à l’école - espèce de débiles mentaux !
« Il t’a nourri et soigné… »
Insultes, coups, humiliations : vous avez manqué à toutes vos obligations.
Vous n’étiez qu’une paire d’imposteurs, dans la vie privée - et aussi dans l’éducation nationale.
« Coucou dans le nid… »
Tu as écrit que j’étais un « coucou dans le nid … ».
Tu n’es qu’une malhonnête particulièrement lâche.
Il faut être sacrément tordue pour affirmer une pareille ineptie !
A 3 ans je n’ai pas pris l’initiative de m’installer chez l’autre gros con.
Je n’étais même pas présent quand tu es partie le rejoindre dans sa ville d'origine - à 670 km de chez toi.
Tu m’avais préalablement laissé chez tes cousins.
« Confié pour une durée indéterminée », cela s’appelle un abandon.
Une fois débarrassée de ma présence encombrante, tu t’es précipitée chez TON connard.
Plus précisément : il était chez ses parents, et il ne t’avait pas spécialement invitée à le rejoindre.
C’est toi qui as couché avec lui - avec un empressement dont il a toujours abondamment témoigné.
C’est toi qui as eu ce comportement de pétasse lubrique.
Tu t’es mise toute seule dans ces situations à la con.
Espèce de lâche !
Tu n’as même pas le courage d’assumer TES choix de merde.
Espèce de cloche, c’est bien toi qui as épousé ce gros abruti.
Bougre d’andouille, tu n’as pas la dignité suffisante pour assumer les conséquences des TES calculs malsains.
Tu fais des conneries et tu te dérobes devant leurs répercussions.
Tu préfères accuser un gosse de 3 ans plutôt que de reconnaître ta désinvolture coupable !
Comme si j’avais la responsabilité de tes turpitudes obscènes, espèce de morue sans scrupules.
« Coucou dans le nid… »
C'est bien toi, la truie lubrique qui s'est vautrée dans son lit.
Personne ne t'avais rien demandé.
Tu n'étais même pas invitée, espèce de conne.
Bougre d'ahurie !
C’est bien toi qui as décidé d’avoir 2 enfants avec ce connard.
Je n’ai rien à voir avec tes coucheries malsaines.
Ni d’aucune façon avec ta conduite perpétuellement scandaleuse.
Minable manipulatrice qui a déployé tous les stratagèmes possibles : à lui, tu gémissais « fais-moi un enfant… »
Et à moi, tu me répétais : « tu dois l’appeler papa… ».
Une bonne leçon interminable qui a produit ses effets.
Il se plaisait à dire que j’étais le premier à l’avoir appelé « papa… ».
Il était un vantard imbu de lui-même. Et parfois un gros benêt.
S’il l’avait su, tu n’aurais pas survécu à sa colère.
Espèce de tordue qui essaye toujours de m’associer à TON comportement lubrique, obscène, indécent, débile, irrespectueux, irresponsable, inconséquent, irréfléchi.
Espèce de conne, tu as voulu obtenir de la respectabilité en te servant de ton cul plutôt que de ta tête.
Le pire, c’est que tu donnerais volontiers des leçons de morale aux femmes mariées qui ne travaillent pas.
Selon tes préjugés à la con, elle seraient des prostituées - alors que toi tu es une oie blanche !!!
Tu oublies vite ce que tu as été - et comment tu as vécu, espèce de morue !
Toi qui as tout accepté de la part de ton gros connard de mari !
Toi! Tu es particulièrement mal placée pour faire des grandes déclarations péremptoires sur l’émancipation des femmes.
Pauvre abrutie.
« Coucou dans le nid… »
Dis donc espèce de malpropre, tu as oublié que ton connard de mari t’avait soutiré de l’argent en douce ?
Encore l’excuse facile d’une amnésie de circonstance.
« Coucou dans le nid… »
Le salopard traitait ta mère de putain, de maquerelle… mais il a bien profité de son argent.
Que ce soit pour l’achat de la maison familiale – ou pour financer mes études.
Aucun amour propre, aucune décence, aucuns regrets, ni excuses.
Que de la grossièreté et un manque total de savoir-vivre.
Et il se réfugiait dans le confort de l’amnésie sélective – comme toi, sa petite salope complice.
Je regrette de m’être laissé manipuler au point que le prénom du connard figure dans l’état-civil de mon fils.
Je regrette toutes ces lettres en vain, pour essayer de renouer. Vous n’en aviez rien à faire.
Juste bons à vous plaindre que je ne venais plus vous voir – comme si je devais oublier l’interdiction écrite de venir chez vous.
Je regrette d’avoir laissé passer le délai de prescription et de vous avoir épargné l’infamie d’un procès en correctionnelle.
Je regrette de ne pas être parti à 18 ans pour chercher refuge chez mes grands-parents.
Je regrette de ne pas avoir invité mes grands-parents à mon mariage.
Cela leur aurait tant fait plaisir, alors que vous faisiez la gueule rien qu’à l’idée de venir.
Et mes grands-parents n’auraient jamais inventé une mauvaise excuse de dernière minute pour ne pas venir.
J’ai de la peine pour mes grands-parents qui avaient rapidement compris que tu ne n'apporterais rien de bon à leur fils.
Mon père a tout quitté pour t’offrir protection, dignité et surtout un nouveau départ dans la vie.
J’ai de la peine pour lui qui avait finalement compris qui tu es - au point de s’en désespérer.
1968, j’avais 5 ans.
Tu disais avec la bouche tordue de mépris : « Ce gosse, je le déteste. »
Même ton gros con alcoolique était choqué.
2023 : rassures-toi, connasse.
J’éprouve la même chose à ton égard.
Mais moi, mes motifs sont sérieusement plus légitimes.
J’ai eu beaucoup de témoignages – même écrits – qui évoquaient une personne folle, désaxée, débile, cinglée, très conne.
On m’a dit aussi : « Elle n’est pas conne, ce serait lui trouver des excuses ».
Effectivement, ton comportement de tordue démontre quelques facultés intellectuelles – au service d’une méchanceté chronique.
Tu as accumulé les conneries, sans être particulièrement bête.
Juste motivée par ta malveillance sans limites.
Tu es une ordure, une pourriture, une bourrique aigrie, buttée, bornée, avide, jalouse, irritable, foncièrement méchante, malhonnête, toxique, dégueulasse, infecte, menteuse, impostrice, voleuse, mange-merde, pourrie, malsaine, vicieuse, rageuse, fouteuse de merde, manipulatrice, comédienne, obscène, dépravée, vaniteuse, indécente, désinvolte, lâche, indigne, égoïste, irresponsable, arrogante, rancunière, prompte à stigmatiser, bourrée de préjugés à la con, irrespectueuse, sans affection, méprisante, prétentieuse, incapable, paresseuse, négligente, feignasse, frustrée frénétique, agressive, renfrognée, glaciale, loin d’être une idiote et surtout malfaisante par nature.
En bref, tu es une grosse merde qui a appris à parler et à écrire.
Dans ta vie, tu n'as fait que des saloperies.
Toi-même, tu es une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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