Quand les salauds exigent le droit à l'oubli... (Bah non).

Il n'y a pas de "droit" à l'oubli d'un délit
Rappel: il y a des delais de prescriptions pour porter plainte ou pour l'excecution d'une peine.
(Violences contre un mineur: 20 ans après sa majorité).

Par contre, le délit reste !
- Une prescription ne veut pas dire que le délit n'a pas existé.
- Une prescription n'interdit pas de parler du délit.
Ce serait trop facile !!!

Quand les malhonnêtes ordonnent qu'on les oublient...
- Après tout ce temps, tu pourrais passer l'éponge.
Ben voyons !!!

Au nom de quoi il faudrait mettre tout ça sous le tapis ?
Ils n'ont eu aucun regret, aucune excuse pour ce qu'ils ont commis  - et il faudrait se taire ???
Maintenant, ça serait à moi de dire: "Rooooh... Pardon de vous avoir dérangé avec vos saloperies, je n'en parlerai plus" ???

Il ne faudrait surtout pas importuner les débiles qui ont été malveillant(e)s toute leur vie ? C'est ça le concept ?

Il faudrait respecter ces mauvaises personnes qui ont maltraité des mineurs pendant des années ? Trop facile !!!
Leur foutre la paix, alors qu'ils ont pourri notre enfance - et qu'ils nient les évidences avec une malhonnêteté de dégueulasses ?

Et ça veut dire quoi "passer l'éponge" ?
Après avoir dégusté, ce serait à moi de "passer l'éponge" ? Pour nettoyer leur merde ?
Et puis quoi encore?
Ces abruti(e)s ne méritent qu'une chose: qu'on leur mette "le nez dedans".

Les mettre face à leurs responsabilités, c'est quand même la moindre des choses.

Quand une connase me demande de me taire...
« Arrêtes de te plaindre… »
Pour qui se prend-t-elle pour m’invectiver ainsi ?
Ce n’est pas à moi de me taire sur les agissements coupables du couple Dukon.
Négligeant ses obligations, madame Dukon a elle-même collaboré au travail malsain de son mari.

Madame Dukon imagine peut-être que je peux lui épargner ces presque 60 années de bassesses à mon égard ?
Enfant rejeté et qu’elle n’a jamais respecté, j’ai bien pris le temps d’écouter madame Dukon avec empathie.
Même pour ses balivernes au sujet des horaires de bus.
Après tout ce qu’elle m’a fait subir, rien ne m’y obligeait !!!

Et tant que madame Dukon n’aura pas exprimé des excuses, elle restera la complice consentante de son mari violent.

Il aurait fallu qu’elle admette que son comportement avec moi n’est pas acceptable.
Et surtout de la part de quelqu’un voudrait se faire passer pour une « bonne mère ».
Madame Dukon ne s’est pas du tout comportée comme une mère, et je ne vais pas me taire éternellement.

Face à l’arrogance et au mépris, je me suis modestement efforcé de lister quelques-uns des actes de violences intrafamiliales commis par monsieur Dukon avec la complicité de son épouse.

Au vu des faits reprochés, je ne pouvais pas faire cet inventaire sans donner mon opinion quant aux comportements inadmissibles des deux individus en cause.
J’en ai assez des faux-semblants et que l’on puisse abuser de mon caractère plutôt accommodant.
La honte ne doit pas demeurer sur les victimes. Elle doit changer de camp.

Dans ce sinistre récit, on réalise ce que des personnages mal intentionnés sont capables de commettre.
Comble de l’imposture, ils se sont même prévalus d’être des gens respectables.
A leurs heures perdues, aussi des voleurs de poules. La loose.
L’histoire jugera.